• Publié le 02/04/2011 03:49 | Philippe Leblanc

    La communauté sans président

    Où va le pays Toy ?/Photo Ph. L.
    Où va le pays Toy ?/Photo Ph. L.
    Où va le pays Toy ?/Photo Ph. L.
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    La dernière réunion de la communauté de communes du pays Toy, lundi 28 mars, n'a peut-être pas été aussi houleuse qu'on aurait pu le craindre, elle a même été d'une bonne tenue, mais elle s'est traduite par la démission plus ou moins attendue du président Jean-Louis Noguère. Pourtant, tout avait à peu près bien commencé. L'assemblée a approuvé dans sa grande majorité les comptes administratifs plutôt bons puisqu'ils se montrent excédentaires. Elle a aussi approuvé la demande de subventions pour certaines opérations. Ce seront les seules décisions prévues pour la soirée car le plat de résistance était, bien entendu, le fonctionnement d'une communauté de communes qui marche mal depuis le début, ce qui est sans doute malheureux et dommageable pour le pays Toy. Luz, qui représente 40 % de la population et de la participation financière, avait accepté 2 délégués par commune ; or, la ville s'est sentie écartée lors des élections communautaires et Esquièze rejoint ce point de vue. Les 2 s'abstiennent de toute participation depuis lors et demandent un changement de représentativité que la nouvelle loi va de toute façon imposer. La confiance à l'intérieur de la communauté n'existe pas et beaucoup, aujourd'hui, l'ont retirée au président. Il manquait toutefois Jean-Marie Dupont, en déplacement professionnel, dernier vice-président en exercice, auteur d'une lettre de défiance au président qui a certainement précipité les choses

    Dans cette lettre, il exprimait son « embarras » sur 3 points, dont la non-dissolution du Sivom du PT dont J.-L. Noguère est aussi président, voulu par les élus, qui est un des gros reproches fait au président. Celui-ci tentera de s'expliquer sur les différents sujets et invitera l'assemblée « à rebondir » tous ensemble en élisant deux nouveaux vice-présidents et en demandant à Luz et Esquièze de rejoindre les commissions. Échec pour lui, collectif aussi, mais d'un échec peut parfois sortir un bien. Et maintenant ?       


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  • L’idée que la France est une démocratie est généralement acceptée par la plupart des observateurs, en particulier à l’étranger, sans que la question fasse débat. Il est cependant permis d’examiner cette assertion en détail, et les choses nous apparaissent alors moins nettes.

    La démocratie consiste en un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. "Par le peuple", la chose paraît difficile lorsque l’on parle de nations comptant des millions de citoyens - bien qu’à la vérité, l’expérience n’ait jamais été tentée - voici pourquoi la France a fait, comme tous les autres pays, une entorse à ce principe en y substituant le gouvernement "par les représentants du peuple". C’est ce que l’on appelle la démocratie indirecte. Les citoyens élisent donc librement ceux qui vont porter leur parole au sein d’une assemblée où ils débattront. Ce système est en soi imparfait, car bien sûr, celui que j’élis, par exemple, parce que ses opinions sont proches des miennes en matière économique n’aura pas nécessairement les mêmes idées que moi en matière de défense, de moeurs, de diplomatie, etc... Se rajoutent à ce défaut ontologique trois biais spécifiques au cas Français.


    - En premier lieu, l’assemblée dont nous parlons n’a de compétence qu’en matière de pouvoir législatif. Le pouvoir exécutif rend des comptes au Parlement, mais les ministres ne sont pas élus par le peuple. De fait, ce n’est le cas nulle part dans le monde, la situation Française se caractérisant du reste par un degré de démocratie légèrement supérieur à la moyenne en ceci que le Président de la République, qui exerce de fait les fonctions de chef de gouvernement, est directement élu par les citoyens. Notez enfin que le pouvoir judiciaire, entre les mains de fonctionnaires de carrière, est largement hors de portée du suffrage populaire, et que la souveraineté du peuple ne s’y exerce que par le rare et folklorique truchement des jurys d’assises.


    - En second lieu, le pouvoir législatif du Parlement est strictement encadré par l’exécutif, qui décide de l’ordre du jour de l’Assemblée Nationale. Les députés n’ont donc aucun moyen de débattre d’un sujet qui n’aurait pas l’agrément du Président de la République, une spécificité Française qui réduit considérablement la souveraineté et la crédibilité du Parlement.


    - Enfin, le parlement se compose de deux chambres, l’Assemblée Nationale et le Sénat. Ce dernier n’est pas élu au suffrage universel, mais par le vote des "grands électeurs", principalement les maires. Ce système avait, à l’origine, pour unique objet d’empêcher la gauche d’arriver au pouvoir, en donnant autant de voix à quelque obscure bourgade agraire du bocage Normand qu’à Paris et ses hordes d’ouvriers bolcheviques. Ce système à l’antidémocratisme patent est toujours en place de nos jours, car il est impossible de réformer la constitution sur ce point sans avoir l’aval du Sénat...

    Dans la pratique, le Parlement n’a que le pouvoir de voter servilement les lois qui lui sont proposées par le gouvernement ou, de plus en plus souvent, directement par les groupes de pression économiques ou moraux qui font le siège du Palais Bourbon. Lorsque le parlement vote mal, on le fait revoter, comme on l’a vu récemment.

    Il n’existe que peu de reliquats de véritable démocratie dans la pratique du pouvoir. Les citoyens ont rarement voix au chapitre. Souvenons-nous que le dernier référendum national date de quatre ans - la pratique du référendum local étant très marginale - et que l’actuel Président de la République s’était fait fort, durant sa campagne, de n’en organiser aucun durant son mandat, sous prétexte que le peuple est bête et qu’il ne comprend pas les questions qu’on lui pose. On ne saurait mieux faire l’éloge de l’oligarchie. En somme, tout se passe comme si la démocratie "à la Française" consistait à se déplacer au bureau de vote une fois tous les cinq ans, et à obéir servilement le reste du temps.

    Cela pourrait effectivement passer pour une sorte de démocratie, dévoyée, mais enfin, qui aurait sauvegardé l’essentiel : le choix du peuple. Mais là encore, dans la pratique, tout s’est mis en place depuis des années pour réduire la pertinence de ces choix, toujours en raison du fait que le peuple est bête et mal éduqué et qu’il ne connaît pas son intérêt, la preuve, c’est qu’il ne vote pas comme on veut. Qui se souvient du référendum sur le quinquennat ? Sous le premier mandat de Jacques Chirac, celui-ci avait eu l’idée brillante - qui traînait en fait dans l’air depuis un bon moment - de ramener le mandat du Président de la République de 7 à 5 ans. Voilà qui va dans le bon sens, bêla-t-on alors de conserve, car cela signifiait que l’on aurait le droit de choisir plus souvent ceux qui nous gouvernent. Mais il n’en a rien été, et voici pourquoi. Jadis, le mandat du Président étant de sept ans et celui des députés de cinq seulement, ils se retrouvaient décalés. Au cours d’un septennat, on pouvait donc changer deux fois ceux qui nous gouvernaient, la première fois à la Présidentielle, la seconde cinq ans plus tard aux Législatives. En moyenne, l’élection décisive se déroulait donc tous les 3,5 ans. Avec le quinquennat, les deux élections étant synchronisées, on ne vote qu’une fois tous les 5 ans. Le voyez-vous mieux, le progrès démocratique ? De fait, si on examine les évolutions constitutionnelles intervenues ces vingt dernières années, on s’aperçoit qu’il n’y a jamais eu la moindre avancée ayant permis de redistribuer un peu de pouvoir au peuple. Ou plutôt si, il y en eut un : en 2005, on avait inclus un - dérisoire - alinéa pour obliger à passer par voie référendaire lorsqu’il s’agirait de ratifier toute nouvelle adhésion d’un pays à l’Union Européenne. C’était pour rassurer les Français au sujet de la Turquie. L’alinéa en question a depuis mystérieusement disparu à l’occasion du dernier chambardement constitutionnel voulu par le Président Sarkozy (c’était officiellement pour moderniser les institutions, on ne voit pas bien le rapport).

    Du point de vue institutionnel, tout est fait pour protéger de plus en plus les élus contre les méfaits du suffrage universel. Mais les institutions ne sont pas tout, il y a aussi, et surtout, les usages, le contexte social dans lequel s’opère le choix du peuple. Ainsi, la liberté d’expression est-elle généralement considérée comme nécessaire à la pratique démocratique, car seul un citoyen bien informé peut voter en connaissance de cause. Cette liberté est garantie par la Constitution. Sauf dans certains cas prévus par la loi afin d’éviter des "abus". Quels sont ces cas ?


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  • Pour répondre à tous ceux qui me disent qu'il est unitule de valoriser ce qui est bien, qu'il faut dénoncer le mal parce que ce n'est pas en laissant faire que ça va changer, je répond.

    Oui tout va mal, la planete va mal, l'économie va mal, les hommes et femmes se déchirent pour imposer leur vision, leur opinion. Non personne n'organise le débat, chacun se bat contre l'autre sans forcèment proposer d'alternative .. Chacun s'acharne à tuer l'autre plus qu'à convaincre de l'intérets de son idée, de son action, de son projet.. Alors oui tout va mal, plus rien ne nous satisfait, plus rien ne nous motive...Toute initiative est aujourd'hui étiqueté d'un camp ou d'un autre : les associations" de défense contre"...prolifèrent pour empécher le progrès...

    C'est pourquoi il faut que ça change et j'invite toute la population à rejoindre la vague bleu marine : le seul , le vrai changement possible. Rejoindre la vague, ce n'est pas un choix contestataire, c'est un vrai choix, une conviction... Monsieur Sarkosy n'a pas su aller au bout des opinions extrémistes: il a pourtant été bien accompagné avec Brice Hortefeux, Besson...Seule la vague pourra agir contre nos libertés et contre ce qui nous reste de démocratie....

    La liberté, la démocratie n'entraine que des conflits, des jalousies.. L'Europe, la Mondialisation dévoile les inégalités, les injustices... Revenons au franc et fermons nos frontières (sauf pour les clopes)... gardons notre argent, notre modèle et évitons l'ingérence qui nous coûte si cher ... Pourquoi aider les pauvres d'ailleurs alors qu'ils prolifère chez nous ...Laissons les etrangers se tuer entre eux chez eux... les musulmans prier dans des pays musulmans etc....arrêtons et évitons les débats stériles... REJOIGNONS LA VAGUE


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  • Je n'y peux rien Monsieur Dollo mais je reconnais que quand je fais ma revue de presse, c'est souvent chez vous que je trouve.... Je suis honoré que vous ayez aujourd'hui trouvé chez moi ... c'est pouquoi je mets à la fin de votre article le lien de l'interview auquel vous faites référence

    PS: J'ai changé la photo, je préfère la mienne

    mercredi 30 mars 2011 par la rédaction

    Lundi soir , la communauté de communes devait, entre autres, élire deux vice-présidents dont les places étaient vacantes depuis plusieurs mois. Aucun candidat. Difficile de mener une gestion normale de la collectivité.

    Hier après-midi, Jean-Louis Noguère nous déclarait : « Conformément à mon engagement pris hier soir [Ndr : lundi soir] j’ai remis ma démission à Monsieur le Préfet auprès de Monsieur le Sous-Préfet ce matin ». Il précise : « Luz et Esquièze persistent dans le boycott des commissions ». Le président devant tout assumer, des poubelles jusqu’aux critiques, il a préféré se retirer laissant les 15 communes devant leurs responsabilités.

    Historique de la vallée

    La vallée de Barège, appelée aujourd’hui Pays Toy, a une longue histoire d’autonomie et de gestion collective des territoires. Mais nous avons parfois l’impression que les communautés villageoises se sont mal adaptées aux changements de 1789 qui n’ont pas forcément été un progrès pour tout le monde.

    De ce que nous connaissons de l’histoire, c’est le 13 novembre 1272 que Raymond Garcie VII, dit Maziéres, seigneur de Castelloubon, échange avec Eschivat de Chabannes, comte de Bigorre, la vallée de Baretge et l’ensemble de ses communautés et quartiers. En contrepartie de cet échange il reçoit les terres de Préchac, Bages, Vier, Andrest et Troignan ainsi qu’une rente de vingt-trois sous morlans. Les dix-sept villages de la vallée de Barèges, tels que connus aujourd’hui, étaient alors regroupés en quatre vics : le vic du plan, le vic débat, le vic darrélaïgue et le vic de Labadsus (Bat sus). Une forme de démocratie directe existait pour gérer villages et terres collectives jusqu’à l’apparition des communes en 1789 pour les villages (avec de nombreuses modifications durant près d’un siècle, la commune de Barèges étant la dernière crée en 1946) et la formalisation d’une commission syndicale par ordonnance de Louis-Philippe le 8 mars 1839 (50 ans après la révolution) pour la gestion des terres indivises au-delà du périmètre des villages.

    Une évolution imposée

    La dernière commune créée n’avait pas 50 ans que déjà des structures intercommunales commençaient à vouloir s’imposer. Gèdre et Gavarnie ont débuté le 4 mai 2000, un peu par nécessité de gestion d’un espace touristique. Pendant ce temps, les 15 autres communes faisaient de la résistance alors que les pouvoirs publics avaient dans l’idée de voir disparaître la commission syndicale au profit d’une vaste communauté de communes. Mais, dans cette vallée, le poids de l’histoire a toujours été plus fort que celui de l’administration. Néanmoins, en novembre 2009, la communauté de communes du Pays Toy naissait dans la douleur et un peu dans la précipitation sous une très forte pression du représentant de l’Etat. Le 30 novembre 2009, Jean-Louis Noguère, maire de Sers, est élu premier président sans beaucoup d’enthousiasme de la part des communes de Luz et Esquièze-Sère. Un manque d’enthousiasme qui s’est concrétisé par la suite par un « boycott » des commissions. Néanmoins, comme le précise Alain Lescoules, maire de Luz, dans un entretien avec Michel Do Carmo le 29 janvier 2009 : « Même a minima l’intercommunalité nous permet de garder notre statut de Zone de Revitalisation Rurale et tout son avantage social et fiscal. ».

    Restons positif et parions qu’un accord sera trouvé pour prendre la tête de cette communauté de communes et la faire fonctionner dans l’intérêt de tout le Pays Toy sans contrainte et pression extérieure contrairement au passé. Dans l’attente de nouvelles élections, le Président sortant, Jean-Louis Noguère, assurera les affaires courantes.

    Louis Dollo

    Entretien avec Alain Lescoules


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  • Je me suis demandé pourquoi Alain JUPPE aurait téléphoné à Jacques Béhague pour apporter son soutien à Michel Pélieu pour l'election à la Présidence du Conseil Général des Hautes Pyrénées. Un soutien qui met la zizanie au sein de l'entente républicaine et qui fait basculer la Présidence.

    J'ai retrouvé cette article sur la dépêche de la Haute Garonne (rappelons que Peyragudes ce n'est pas les Hautes Pyrénées)

    Publié le 03/02/2009 10:06 | Guillaume Atchouel

    Peyragudes. Alain Juppé reçu à la station « comme un sauveur »

    Michel Pélieu accueillant Alain Juppé (et sa femme derrière à gauche) lors de l'inauguration de la résidence. Photo NR.
    Michel Pélieu accueillant Alain Juppé (et sa femme derrière à gauche) lors de l'inauguration de la résidence. Photo NR.
    Michel Pélieu accueillant Alain Juppé (et sa femme derrière à gauche) lors de l'inauguration de la résidence. Photo NR.

    « Vous me manifestez une reconnaissance qui me procure un grand bonheur. Je suis heureux d'être citoyen d'honneur de Peyragudes. C'est très important pour moi », s'est exclamé, samedi soir, Alain Juppé, l'ancien Premier ministre et actuel de maire Bordeaux, invité par Michel Pélieu, le président de la station, à inaugurer le Serias, cette nouvelle résidence de 51 appartements située au pied des pistes. De nombreux conseillers généraux, conduits par Josette Durrieu, la présidente du conseil général, avaient fait le déplacement pour prendre part à cet événement qui survient au moment où Peyragudes fête ses 20 ans.

    Alain Juppé n'est d'ailleurs pas étranger à l'essor, « au développement exemplaire de ce site et de la vallée du Louron », comme n'a pas manqué de le souligner Josette Durrieu. Dans la vallée, toute opinion politique mise à part, Alain Juppé est, ni plus ni moins, considéré « comme un sauveur ».

    C'est lui qui a, le 1er février 1996, en qualité de Premier ministre, officialisé, devant le Sénat, l'abandon du projet d'une ligne électrique très haute tension reliant par le Louron, la France à l'Espagne.

    une longue bataille juridique

    « Le 11 janvier de cette année-là, se souvient Michel Pélieu, la cour d'appel de Bordeaux, après une bataille juridique âpre et ponctuée par deux victoires et deux échecs devant les tribunaux, a autorisé la réalisation de cet ouvrage qui aurait défiguré le paysage et porté un terrible coup à notre développement touristique et, par conséquent, à l'avenir des hommes et des femmes d'ici. »

    Bien qu'assommé par cette décision, Michel Pélieu, en farouche défenseur de son « pays », tire sa dernière cartouche dans l'espoir de faire changer le cours de l'histoire. « J'ai demandé à Philippe Douste-Blazy, qui était alors maire de Lourdes et ministre de la Culture, de m'obtenir un rendez-vous avec Alain Juppé. Le 24 janvier, je me retrouvais dans son bureau à Matignon pour plaider notre cause. Il sortait juste du conseil des ministres. »

    La détermination de Michel Pélieu

    Alain Juppé se rappelle de cette entrevue qui a duré près d'une demi-heure. « Je me souviens que vous m'avez dit ne pas être un écologiste, un doux rêveur échevelé. Vous avez plaidé votre cause avec passion, avec vos tripes. J'ai entendu votre message. J'ai même dit : Dans ce pays, on laisse trop souvent faire n'importe quoi. »

    Michel Pélieu confie être ressorti « perplexe et confiant de ce rendez-vous ». Mais, quelques jours plus tard, EDF érigeait à Nistos le premier pylône de la ligne. « Je me suis dit que s'était fichu », se remémore le conseiller général. Finalement, après avoir consulté ses ministres de l'Industrie et de l'Environnement, Alain Juppé sonnait le glas de ce projet. « Vous m'avez écouté et entendu. Vous avez cette grande valeur qui fait de vous un grand Monsieur. »

    Alain Juppé, modeste, considère plutôt que « c'est à la détermination de Michel Pélieu et de tous les valléens que cette victoire incombe ». S'il a accepté de signer l'arrêt de mort de la THT, « c'est qu'il a senti chez Michel cette volonté de servir les autres et un grand amour de son pays et de ses racines mis au service d'un vrai projet de vie et de développement pour tous ». Depuis, grâce à son environnement préservé et à la volonté de ses hommes, Peyragudes est devenu la deuxième des plus grandes stations des Pyrénées.


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