• Découvrez la vidéo de l'incroyable Cadillac présidentielle de Barack Obama stoppée lamentablement par un simple dos d'âne. Irrésistible... Hi Han.

    Alors que ce sont les radars qui font l'actualité en France, en Irlande, c'est un vulgaire ralentisseur qui est à l'origine du gag de la journée !

    Sortant cet après-midi de l'ambassade américaine à Dublin à bord de leur impressionnante Cadillac à 1 million d'euros, Barack Obama et Michelle Obama se sont fait stopper par un dos d'âne, sans doute un complot des Républicains... le fameux dos d'âne républicain !

    Regardez, la sécurité semble totalement dépassée par cet imprévu et met du temps à réagir avant de faire avancer un bus pour masquer la sortie du couple présidentiel. La voiture a finalement été déplacée par une dépanneuse quelques longues minutes plus tard.

     


    La limousine d'Obama reste bloquée sur un dos... par ClaVieFrere2011


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  • Même Citroën se sert de l'affaire 

    Présentée en première mondiale au salon de l’automobile de Paris, elle est une nouvelle preuve de Créative Technologie. CITROËN DSKatre s’inscrit parfaitement dans la philosophie de la ligne DS en proposant des partis-pris forts en termes de style, de sensations, d’architecture et de raffinement. C’est un coupé aux pouvoirs étendus qui, grâce à ses prestations, répond à des besoins multiples tout en offrant une séduction et un dynamisme toujours plus grands.



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  • Je n'ai pas assez de place  pour mettre tout  mais voici comment AGORA VOX mélange tout en un seul titre. Voila l'information ....

    Affaire DSK + Grossesse Carla, vers un duel Marine le Pen / Nicolas Sarkozy au deuxième tour des présidentielles

    Dominique Strauss-Kahn est désormais hors course et peu importe son degré d’innocence ou de culpabilité, il ne se présentera pas aux primaires socialistes. D’autre part, Carla Bruni est opportunément enceinte et la seule question qu’il faut poser est la suivante : les lecteurs de Closer, Gala, Paris-Match, les spectateurs assidus du 13 heures de TF1 iront-ils voter en masse, alors qu’ils sont habituellement abstentionnistes. A moins d’un revirement spectaculaire et d’un improbable retour de la droite à la dignité pour virer salutairement Nicolas Sarkozy de la présidentielle à coup de pompes dans le train et présenter Fillion, Juppé ou Villepin à sa place, nous nous dirigeons tout droit vers un duel Sarkozy / Marine le Pen au second tour de l’élection présidentielle de 2012. A gauche, on peut craindre le pire, soit un écroulement de Hollande et Aubry, soit un émiettement des voix sur plusieurs candidats marginaux tels le nigaud vert Hulot ou la Robespierre en jupon, Eva Joly, soit enfin pire scénario, le retour de la folle, comme en 2007.

    La grossesse de Carla Bruni a été déclarée tardivement de façon intentionnelle car elle devait arriver au bon moment et avec la certitude d’aller à son terme pour être efficace à la réélection de Nicolas Sarkozy. La dame n’étant de plus première fraîcheur, il fallait par certains examens s’assurer qu’elle n’allait pas mettre au monde un mongolien. Si le test pour la Trisomie 21, fréquente après 38 ans, avait été positif, elle aurait avorté discrètement et la grossesse n’aurait jamais existé officiellement. Carla Bruni n’est pas Sarah Palin qui s’exhibe avec un enfant débile dans les bras, Sarkozy a impérativement besoin d’un rejeton normal pour ne pas ternir son image, nous ne sommes pas aux Etats-Unis. D’autre part, on ne tombe pas enceinte aussi rapidement à 43 ans qu’à 25, et s’il a fallu une incitation à l’ovulation ou une fécondation in vitro, il était nécessaire de s’assurer que la grossesse tienne avant de crier victoire et aussi se donner la possibilité d’éliminer des embryons en surnombre, car on ne voit mal Sarkozy père de quintuplés. Enfin, il fallait être sûr de la paternité, connaissant les anciens penchants de la future mère et éviter à Sarkozy, l’affront et l’humiliation de Michel Polnareff.

    Maintenant va commencer la bataille de l’opinion publique. Quoi de plus attendrissant qu’un gros ventre, des photos à la maternité, un couffin avec un bébé fripé qui ressemble à un têtard. Les abrutis qui aiment les contes de fées voudront tout savoir du vêlage de la première Dame de France. Pour être présent au second tour, il manque actuellement à Sarkozy environ 4 ou 5% de voix. Tout le marketing de campagne va consister à inciter à se déplacer 5% de crétins qui habituellement restent chez eux en plus de ceux qui votent Sarkozy par défaut. Pari relativement facile à atteindre, car il y a largement plus de 5% de cons en France. Ensuite le tour est joué, même sans front républicain et sursaut patriotique, car la Gauche a été échaudée en 2002, au mieux, elle s’abstiendra. La loi électorale est telle que dans l’hypothèse où 60% ou plus de Français s’abstiennent, celui qui arrive en tête du deuxième tour est élu. Marine le Pen ne peut faire mieux que 30% des bulletins exprimés au deuxième tour. Donc avec ce scénario, Sarkozy est réélu bien qu’impopulaire. On peut s’attendre à un regain de notoriété et de sympathie à son égard quand on a en mémoire le tout récent mariage princier en Angleterre qui a scotché des millions de Français devant leur télévision et l’engouement médiatique pour la fameuse Pippa et sa bouche à … Il faut faire rêver la plèbe, les nouveaux Séguéla sont déjà en train de fourbir leur stratégie de communication sur la grossesse puis sur l’accouchement. Une grossesse présidentielle, c’est encore plus attrape-gogos que les ours blancs et le réchauffement climatique. Artus-Bertrand nous filmera bien la clinique privée vue du ciel, le moment venu. Nous nous dirigeons tout droit vers une république des nases. Seule une fausse-couche peut désormais sauver la France ! On est tombé bien bas.

    Alors que faire pour éviter ce drame national ?

    - Soit trouver un candidat à droite qui soit raisonnable, sobre et non un m’as-tu vu bling-bling. Mais Sarkozy les tient tous par intimidations, prébendes et dossiers des RG. Pourtant même en étant de gauche, on en arrive désormais à considérer Fillon, Juppé et Villepin comme des phénix et comme d’improbables sauveurs face à l’histrion de l’Elysée.

    - Soit trouver un candidat consistant et rassembleur au centre, mais Bayrou et Morin font-ils le poids ? Borloo est trop vert pour être totalement honnête et il peut se révéler aussi spectaculaire que Boris Eltsine. Nous avons eu assez de scandale pour ne pas s’en préparer un autre.

    - Soit un ressaisissement à gauche, avec le retrait des « petits candidats folkloriques » et une fédération autour de Martine Aubry malgré ses défauts de piscine ou François Hollande en dépit de son côté falot. Il serait judicieux de tout faire pour éviter le retour de la sirène du Poitou avec ou sans nouvel amant. Les autres n’ont aucune chance, même si Manuel Valls est plus raisonnable et plutôt sympathique. Oublions des pitoyables photos nues de Ségolène dans le style Pierrette le Pen, à défaut d’une impossible grossesse, pour redorer le blason de la gauche et damer le pion à Carla Bruni.

    Reste enfin le vote vert, encore pire que le vote FN car nettement plus dangereux. Marine le Pen improbablement élue serait immédiatement paralysée par ce qui reste de gauche, par les syndicats, par les enseignants et par les émigrés. Les Ecolos par contre imposeraient leurs oukases sans trop de protestation et le totalitarisme vert s’imposerait plus facilement que celui des chemises brunes. La dictature du tri sélectif sous la férule d’Eva Joly ferait ressembler la Terreur au monde des Bisounours rendant a posteriori par comparaison Robespierre, Marat, Hébert et Fouquier-Tinville presque sympathiques et mollassons.

    La question que doit se poser chaque citoyen qui exècre Sarkozy est donc la suivante : on fait quoi en cas de duel final Sarkozy / Marine le Pen ? Même si l’on est anarchiste, trotskiste, gaulliste ou végétarien de gauche, on doit se demander quelle est la meilleure ou plutôt la moins mauvaise attitude pour nuire à Sarkozy. Il est déjà certain qu’il vaut mieux qu’il soit élu avec 55% des voix qu’avec 80% surtout s’il y a 50% ou plus d’abstentions et de votes nuls et blancs. Et si chose improbable, Marine le Pen est élue, elle ne tiendra pas plus de 6 mois, mais nous serons définitivement débarrassé de l’infâme majesté à talonnettes qui ne sera plus en course. De toute façon, en dehors des ignares, hypnotisés par les chants des sirènes, au second tour, un Français ne vote pas pour, mais contre le candidat qu’il déteste le plus. En cas de deuxième tour Sarkozy contre Marine le Pen, il faudra hélas voter Marine pour tenter de sauver paradoxalement la France et s’opposer au sinistre petit monarque. Triste perspective.

    Pour éviter ce scénario catastrophe, il faut trouver pour le premier tour soit un candidat de droite ou du centre qui ait de la dignité ou choisir le candidat socialiste sauf si c’est l’inconsistante Ségolène Royal. L’idéal serait un duel Villepin contre Aubry, ce serait classique, honnête mais hélas peu probable dans une république du spectacle. A la rigueur, Hollande, Bayrou, Fillon ou Juppé peuvent faire l’affaire. Sarkozy hors-jeu, c’est loin d’être gagné et il faut s’attendre au pire. Mais le pire est peut-être à venir pour 2017 avec Jean-François Copé aussi ambitieux, inculte et m’as-tu-vu que Sarkozy, si ce n’est plus encore.


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  • Actualité déroutante, sans commentaires , je  propose ce texte

    Friedrich NIETZSCHE (1844-1900)
    Aurore, I, § 9, Idée de la moralité des mœurs,
     Bouquins T. I, P. 975 - 977.

    Idée de la moralité des mœurs. — Si l'on compare notre façon de vivre à celle de l'humanité pendant des milliers d'années, on constatera que, nous autres, hommes d'aujourd'hui, vivons dans une époque très immorale : le pouvoir des mœurs est affaibli d'une façon surprenante et le sens moral s'est tellement subtilisé et élevé que l'on peut tout aussi bien le considérer comme volatilisé. C'est pourquoi, nous autres, hommes tardifs, pénétrons si difficilement les idées fondamentales qui ont présidé à la formation de la morale et, si nous arrivons à les découvrir, elles nous restent dans la gorge, tant elles nous paraissent grossières ! tant elles ont l'air de calomnier la moralité ! Voici déjà, par exemple, la proposition principale : la moralité n'est pas autre chose (donc, avant tout, pas plus) que l'obéissance aux mœurs, quel que soit le genre de celles-ci ; or les mœurs, c'est la façon traditionnelle d'agir et d'évaluer. Là où la tradition ne commande pas, il n'y a pas de moralité ; et moins l'existence est déterminée par la tradition, moins est grand le cercle de la moralité. L'homme libre est immoral, puisque, en toutes choses, il veut dépendre de lui-même et non d'un usage établi, d'une tradition : dans tous les états primitifs de l'humanité « mal » est synonyme d' « individuel », « libre », « arbitraire », « inaccoutumé », « imprévu », « imprévisible ». Dans ces mêmes états primitifs, toujours selon la même évaluation : si une action est exécutée, non parce que la tradition la commande, mais pour d'autres raisons (par exemple à cause de son utilité individuelle), et même pour les raisons qui autrefois ont établi la tradition, elle est qualifiée d'immorale et considérée comme telle, même par celui qui l'exécute : car celui-ci ne s'est pas inspiré de l'obéissance envers la tradition. Qu'est-ce que la tradition ? Une autorité supérieure à laquelle on obéit, non parce qu'elle commande l'utile, mais parce qu'elle commande.— En quoi ce sentiment de la tradition se distingue-t-il d'un sentiment général de crainte ? C'est la crainte d'une intelligence supérieure qui ordonne, d'une puissance incompréhensible et indéfinie, de quelque chose qui est plus que personnel,—il y a de la superstition dans cette crainte. — A l'origine, l'éducation tout entière et les soins de la santé, le mariage, l'art médical, l'agriculture, la guerre, la parole et le silence, les rapports entre les hommes et les rapports avec les dieux appartenaient au domaine de la moralité : la moralité exigeait que l'on observât des prescriptions, sans penser à soi-même en tant qu'individu. Dans les temps primitifs, tout, par conséquent, relevait des mœurs, et celui qui voulait s'élever au-dessus des mœurs devait se faire législateur, sorcier et quelque chose comme un demi-dieu : c'est-à-dire qu'il lui fallait créer des mœurs, — chose épouvantable et fort dangereuse ! — Quel est l'homme le plus moral ? Tout d'abord, celui qui accomplit la loi le plus souvent : qui, donc comme le brahmane, porte la conscience de la loi partout et dans la plus petite division du temps, de sorte que son esprit s'ingénie sans cesse à trouver des occasions pour accomplir la loi. Ensuite, celui qui accomplit aussi la loi dans les cas les plus difficiles. Le plus moral est celui qui sacrifie le plus souvent aux mœurs : mais quels sont les plus grands sacrifices ? En répondant à cette question l'on arrive à développer plusieurs morales distinctes : cependant la différence essentielle reste celle qui sépare la moralité de l'accomplissement le plus fréquent de la moralité de l'accomplissement le plus difficile. Que l'on ne se trompe pas sur les motifs de cette morale qui exige, comme signe de la moralité, l'accomplissement d'un usage traditionnel dans les cas les plus difficiles ! La victoire sur soi-même n'est pas demandée à cause des conséquences utiles qu'elle a pour l'individu, mais pour que les mœurs, la tradition apparaissent comme dominantes, malgré toutes les velléités contraires et tous les avantages individuels : l'individu doit se sacrifier—ainsi l'exige la moralité des mœurs.— En revanche, ces moralistes qui, pareils aux successeurs de Socrate, recommandent à l'individu la domination de soi et la sobriété, comme ses avantages les plus particuliers, comme la clef de son bonheur le plus personnel, ces moralistes sont l'exception — et s'il nous paraît en être autrement, c'est simplement parce que nous avons été élevés sous leur influence : tous suivent une voie nouvelle qui leur vaut la désapprobation absolue de tous les représentants de la moralité des mœurs,—ils s'excluent de la communauté, étant immoraux, et sont, au sens le plus profond, mauvais. De même, un Romain vertueux de la vieille école considérait comme mauvais tout chrétien qui « aspirait, avant tout, à son propre salut ». — Partout où il y a communauté et, par conséquent, moralité des mœurs, domine l'idée que le châtiment pour la violation des mœurs touche avant tout la communauté elle-même : ce châtiment est un châtiment surnaturel, dont la manifestation et les limites sont si difficiles à saisir pour l'esprit qui les approfondit avec une peur superstitieuse. La communauté peut forcer l'individu à racheter, auprès d'un autre individu ou de la communauté même, le dommage immédiat qui est la conséquence de son acte, elle peut aussi exercer une sorte de vengeance sur l'individu parce que, à cause de lui — comme une prétendue conséquence de son acte — les orages divins et les explosions de la colère divine se sont accumulés sur la communauté, — mais elle considère pourtant, avant tout, la culpabilité de l'individu comme sa culpabilité à elle, et elle en supporte le châtiment comme son châtiment : « Les mœurs se sont relâchées », ainsi gémit l'âme de chacun, « pour que de pareils actes soient devenus possibles ». Toute action individuelle, toute façon de penser individuelle font frémir ; il est tout à fait impossible de déterminer ce que les esprits rares, les plus rares, les plus raffinés, les plus spontanés, ont dû souffrir au cours des temps à être ainsi toujours considérés comme mauvais et dangereux, bien plus, à s'être toujours eux-mêmes considérés ainsi. Sous la domination de la moralité des mœurs, toute espèce d'originalité avait mauvaise conscience ; l'horizon des meilleurs en est devenu jusqu'à cette heure encore plus sombre qu'il n'aurait dû..



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