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  • Saut à l'elastique

     

    Haut de 90 mètres, le Pont Napoléon est  le lieu de grand spectacle pour les visiteurs et d’émotions exceptionnelles avec montée d'adrénaline sans pareil pour tous ceux qui on fait le saut à l’élastique. C’est Laurent Cazaux et son équipe d’Elastic Pacific qui encadre l’évènement : « Chez Elastic Pacific, le saut à l'Elastique nous le connaissons et le pratiquons depuis 20 ans. Nous avons participé à sa normalisation et sa règlementation, pour pouvoir dire maintenant : LA SEULE PEUR QUE VOUS POUVEZ VOUS FAIRE A L'ELASTIQUE, C'EST DE VOUS FAIRE PLAISIR !

    J'ai participé l'an passé à un  de ces Evènements .

    Cétait le premier de la saison, la Météo était idéale et les amateurs de sensations fortes étaient nombreux à vouloir faire le grand saut. Après avoir été équipé, voilà le moment tant attendu,  c'est à vous. Il vous faut maintenant monter les petites marches prévues à cet effet pour prendre place sur le rebord. Déjà le stress monte, les mains sont moites...mais surtout regardez bien face à vous pour ne pas laisser la peur vous freiner...Respirez un bon coup et bien profondément, et...Allez ! un, deux, trois, les genoux légèrement fléchis, les bras tendus, il vous suffit de pousser sur vos jambes pour flirter avec les plus intenses sensations que procure cette chute à la fois brutale et libératrice. Voilà ! l'élastique rappelle encore quelques instants sa présence en vous faisant monter et descendre de plus en plus doucement, le temps pour vous de réaliser l'exploit et de vous dire : "ouais! je l'ai fait !!! ". "QUE LES FOLIES SONT LES SEULES CHOSES QUE L'ON NE REGRETTE JAMAIS" Oscar Wilde.


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  • Une occasion pour  saluer le travail des  Infirmiers et Infirmières auxquels on peut associer l'ensemble des soignants.

    12 mai : Journée Internationale de l'infirmière

    12 mai : Journée Internationale de l'infirmièreLa Journée internationale de l'infirmière est célébrée dans le monde entier le 12 mai, jour anniversaire de la naissance de Florence Nightingale.

    C’est une occasion pour réaffirmer son attachement à vouloir améliorer les conditions de travail des professionnels de l'art infirmier. En effet, la pénibilité de ce métier, notamment dans les hôpitaux, est intenable au point que nombre d'infirmiers et d'infirmières quittent la profession au bout de quelques années, créant par là même, une réelle pénurie auprès du patient, ce qui aggrave encore les conditions de travail.

    Qui est Florence Nightingale ?

    Florence Nightingale a posé les bases de la profession infirmière contemporaine. Ses contributions sont nombreuses : elle a été la première personne à définir que chaque patient a des besoins individuels, que le rôle de l'infirmière vise à satisfaire ces besoins et elle a pris en compte les dimensions santé-maladie des soins infirmiers. Elle a fait des soins infirmiers une occupation respectée en établissant une formation, en soulignant l'importance d'une éducation continue, et en distinguant les soins infirmiers de la médecine. Elle croyait qu' "une bonne pratique infirmière ne grandit pas seule; elle est le résultat d'études, d'enseignement, d'entraînement, de pratique, qui se finalise dans une base solide qui peut se transférer dans tous les milieux, auprès de tous les patients

    Objectif :

    Durant la Journée internationale de l’infirmière, la FSSS-CSN (Fédération de la santé et des services sociaux de la Confédération des syndicats nationaux), qui représente près de 100 000 syndiqué(es) du réseau de la santé et des services sociaux, souhaite qu’une meilleure organisation du travail dans les soins infirmiers diminue les surcharges de travail et les burn-out dont sont victimes, entre autres, les infirmières. Ces femmes représentent plus du tiers de la main-d’œuvre du réseau de la santé et travaillent dans des conditions difficiles en raison de la pénurie de main-d’œuvre.


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  • 10 mai : journée commémorative de l'abolition de l'esclavage en France métropolitaine



    10 mai : journée commémorative de l'abolition de l'esclavage en France métropolitaineLe président français Jacques Chirac a décidé de faire du 10 mai la Journée commémorative de l'abolition de l'esclavage en métropole. L'occasion pour la France métropolitaine d'honorer le souvenir des esclaves et de commémorer l'abolition de l'esclavage. Au-delà de l'abolition, la journée devrait engager une réflexion générale sur l'ensemble de la mémoire de l'esclavage, longtemps refoulée, pour la faire entrer dans notre histoire. L'occasion aussi de s'interroger sur la façon dont l'esclavage peut trouver sa juste place dans les programmes de l'école primaire, du collège et du lycée. La volonté également de développer la connaissance scientifique de cette tragédie. Enrichir notre savoir, c'est le moyen d'établir la vérité et de sortir de polémiques inutiles.
    La date du 10 mai correspond à l'adoption par le Parlement, le 10 mai 2001, de la loi Taubira 'reconnaissant la traite négrière transatlantique et l'esclavage'.


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  • J'ai parcouru quelques blogs et quelques pages Facebook et j'ai relevé quelques "j'aime" .... Je partage parce que moi aussi j'aime....
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    regarder les parisiens lire sur les chaises métalliques du jardin qui entourrent les bassins et les pelouses.
    rire avec mes amis.
    retrouver un morceau au hasard d'un album qui traine.
    les (mini) danettes chocolat orange.
    l'odeur de la campagne après la pluie.
    croquer des bonbons en écoutant les présentations.
    retrouver sans y penser le bon wagon pour ma correspondance.
    découvrir de nouvelles vues des monuments de Paris.
    prendre un, deux jours de congés juste comme ça, juste parce que l'idée m'est venue.
    le gonflant de mon nouvel oreiller.
    finir ce que j'étais en train de faire avant de perdre l'énergie, même si ça me fait rentrer tard.
    prendre les nuages en photo.

     

     

    boire une tisane le soir.
    quand la fin d'une journée merdique approche.
    qu'on me respecte. recevoir des nouvelles des personnes que j'apprécie.
    raconter des bétises.

    Je voudrais fuir, repartir de zéro.
    Mais je suis mauvaise à ce jeu là. Pas assez forte pour ne pas retomber dans les mêmes travers.
    Certes j'ai appris à plus faire confiance et mieux laisser une chance. Certes je sais mieux tenter de rencontrer des gens. Mais je suis trop tétues pour que ça passe bien.

    Je ne veux pas partir, je veux rester.
    recevoir un message comme d'outre-tombe.
    Et j'aimerais qu'il ne soit pas un "accident".
    perdre pieds dans les vagues qui m'entrainent et poussent le maitre nageur à venir au bord de l'eau nous surveiller au lieu de demeurer à l'abris du vent dans sa cahute.

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