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    Je participais ce soir à une réunion publique où il était question de l’organisation des temps  périscolaires  après les vacances de la toussaint. De nombreux parents étaient présents. A la fin de cette réunion lorsque Monsieur le  Maire Alain Lescoules est intervenu pour parler des coupons sports octroyés par la Direction Départementale de la Jeunesse et des Sports  j’ai donné une mauvaise information et je souhaitais m’en excuser. J’ai informé les personnes responsables de la réunion  de mon erreur et j’en profite pour publier l’information officielle de la DDJS concernant ces coupons sports.
     
    OBJECTIFS
    1.      Abaisser le coût de la pratique sportive pour les jeunes disposant de revenus modestes.
    2.      Inciter les associations sportives à faire un effort d’ouverture vers les adolescents et jeunes adultes en leur proposant des activités de découverte ou de compétition dans un cadre plus souple que la pratique traditionnelle
     
    LE PUBLIC CONCERNE
    •       Les ayants droit sont des jeunes âgés de 9 à 18 ans (1999 à 1990)
    •       Scolarisés
    •       Bénéficiant de l’allocation de rentrée scolaire
    •       Qui souhaitent s’inscrire auprès d’une association sportive agréée par la DDJS
     
    Parents, il faut se munir des 3 pièces suivantes :
    •       Photocopie de la carte d’identité du jeune ou photocopie du livret de famille
    •       Attestation d’attribution de l’allocation de rentrée scolaire (délivrée par la CAF)
    •       Attestation  de cotisation et de licence délivrée par le club ou l’association où désire s’inscrire le jeune
     
    Faire parvenir l’ensemble des pièces par courrier avec une enveloppe auto adréssée pour l’envoi du coupon à l’adresse suivante :
    DDJS des Hautes Pyrénées
    Cité Administrative Reffye
    BP 1705
    65017 TARBES CEDEX 9
     
    Les coupons d’un montant de 20 € seront délivrés aux ayants droit dans la limite du stock disponible
    1 coupon sera attribué pour une licence + une cotisation dont le montant est inférieure à 90€
    2 coupons seront attribués pour une licence + une cotisation égale ou supérieure à 90 €

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  • Merci jolifleur

    Il 'y a peut être un message mais certainement pas de polémiques. Quoi qu'il en soit je ne sais pas qui tu es mais permets moi de te dire que si tu consultais bien mon blog ou même mieux si tu me connaissais tu saurais que j'ai beaucoup plus d'humilité que les intentions que tu me prêtes....  Quand on a pas de pouvoir, on a encore heureusement le droit de réfléchir, de voir, de parler, d'écrire, de constater, de suggérer ... 

                                                                   S'agit il d'un message?

                                         Un communiqué de presse, un compte rendu de réunion, un appel téléphonique, un billet sur un blog, par exemple, sont tous des messages. Tout le monde en envoie. Qu’ont-ils en commun ?
     
    - Un message est une initiative
    Son auteur crée une situation de communication avec un destinataire dans une intention précise, avec un projet explicite. L’enjeu, pour l’auteur, est de se faire comprendre par le destinataire, et de susciter une réponse.
      
    - Un message est clair
    Son contenu répond sans ambiguïté aux questions suivantes : 
    •   qui ? (qui est l’auteur ?),
    •   à qui ? (qui est concerné ?),
    •   quoi ? (de quoi s’agit-il ?),
    •   où ? (dans quel lieu ça se passe ?),
    •   quand ? (à quel moment ?). Ces réponses sont importantes pour l’auteur lui-même, elles lui apporteront les éléments du contenu et des indications sur la manière de faire passer son message (quoi dire en premier ?).
    - Un message emprunte un ou des moyens de communication
    De vive voix, par courrier, par voie de presse, par affiche, par tract,... Le choix du ou des moyens dépend de nombreux facteurs : caractère officiel ou non du message, les délais à respecter, circonstances de lieu, connaissances du statut et des habitudes du ou des destinataires, matériel à disposition... Il s’agit de choisir le ou les moyens adaptés à la situation.
     
    - Un message a une forme
    Il est oral ou écrit, sur papier à en-tête, sur papier libre, sous pli fermé ou comme circulaire, dans un vocabulaire simple ou dans un langage spécialisé, fait de phrases courtes ou longues, avec ou sans illustration... donc une forme dont le matériau contribue au sens du message et qui en facilite la compréhension.
     
    Ces quatre caractéristiques (la prise d’initiative, la clarté, le moyen et la forme), communes à tous les messages, se réalisent différemment à chaque nouvelle situation de communication.
     
    À la faveur des événements qui se répètent régulièrement (réunions, communiqués de presse, invitations...) les trucs qui marchent deviennent des habitudes et créent progressivement des signes distinctifs propres à l’individu : un style immédiatement reconnaissable.
     
    L’individu est irrigué par les informations. Mais les mettre en circulation au bon moment et dans la bonne direction, cela veut dire organiser la communication interne et choisir les moyens adaptés.
     
    Les lieux publics, les cafés… constituent la plate-forme où arrivent bien des informations et d’où elles se redistribuent. C'est vrai particulièrement pour les commentaires de la presse locale.
    Cependant ce n’est pas tout, l’individu est lui-même producteur d’informations, lors des réunions auxquelles il participe, des activités, des conseils d’administration ..., informations qui peuvent être utiles à un moment ou un autre à tout individu. Pour les rendre accessibles, il convient d’en garder des traces, le plus souvent écrites, ainsi les prises de notes, les comptes rendus, les carnets de bords ou toute autre forme d’enregistrements, mais aussi de les ranger de telle sorte qu’elles soient facilement disponibles et diffusables. Le mode d’organisation, quelle qu’en soit la forme est choisi pour son efficacité suivant les circonstances et selon le propos.
     
    Le choix des moyens et des techniques de diffusion mérite également de l’attention. La réunion, le bulletin d’information, la convocation, le communiqué dans la presse locale sont des pratiques courantes. Elles sont toutes adaptées à des circonstances particulières qu’il s’agit d’apprécier. Et actuellement les techniques mises en œuvre avec le téléphone mobile ou Internet (courrier électronique, site, forum ...), par exemple, multiplient les possibilités non seulement de diffusion mais aussi d’échange en direct. Elles amènent à prendre de nouvelles habitudes et modifient la forme des messages.
     
    L’organisation et la diffusion des informations déterminent la qualité de la communication. Sur elles reposent la participation aux actions, le sentiment d’appartenance à un collectif, et la construction d’une histoire commune. Pour être utile, l’individu a besoin de public en tant qu’agents de la circulation des informations.

      


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  • Qu’ est ce que c’est ?

     Qu’est-ce qu’une intercommunalité ?

    L’intercommunalité désigne les différentes formes de coopération existant entre les communes. Elle permet un regroupement au sein d’un Etablissement Public dit de Coopération Intercommunal (E.P.C.I.) afin d’assurer certaines prestations ou d’élaborer un projet commun de développement et d’aménagement de l’espace.
    La coopération intercommunale est fondée sur la notion de projet de développement organisée au sein d'un espace de solidarité.
     
                                                                                             Les Lois de l’ Intercommunalité

    22 mars 1890 : création de la coopération intercommunale
    06 février 1992 : loi sur l’Administration Territoriale de la République
    12 juillet 1999 : loi Chevènement remplacée par la loi relative au renforcement et à la simplification de la coopération intercommunale
    13 août 2004 : loi relative aux libertés et responsabilités locales

     Combien de communautés de communes en France ?

    Au premier janvier 2007, près de 2 588 structures intercommunales à fiscalité propre (2 400 communautés de communes, 169 communautés d'agglomération, 14 communautés urbaines et 5 syndicats d'agglomération nouvelle) regroupaient 33 414 communes, soit environ 54.2 millions d’habitants*.
    *
    données provenant du conseil des ministres du 14 mars 2007
     
    Pour quoi faire ?
     
    En France, il existe 36 778 communes (recensement de 2003), 1 sur 4 compte moins de 200 habitants et 1 sur 2 moins de 400. Nombre d’entre elles sont donc trop petites pour mener à bien des projets d’envergure ou proposer aux usagers les services dont ils ont besoin.

    L’union fait la force...

    Les communes doivent se regrouper pour : 
    • exercer plus efficacement un certain nombre de compétences
    • réaliser des projets à l’échelle du territoire intercommunal
    • réfléchir à un développement territorial
    • mettre en commun des moyens financiers
    • mettre en commun des grands équipements (ex. piscine,gymnase…)
    • oeuvrer ensemble afin de mieux préserver les valeurs locales
    • agir au mieux dans l’intérêt des administrés
    Les compétences

    1) Aménagement de l’espace :

    Elaboration de documents d’urbanisme à caractère communal ou intercommunal, définition d’une politique d’aménagement à long terme.

    2) Action de développement économique d’intérêt communautaire :

    Etude et création de zone d’activités intercommunale, de services intercommunaux d’appui pour les entreprises, réalisation d’actions de promotion économique, d’actions favorisant le développement de l’agriculture, assurer la promotion touristique de l’ensemble de son territoire.

    3) Protection et mise en valeur de l’Environnement :

    Ramassage et traitement des Ordures Ménagères, réhabilitation et mise en valeur des décharges.

    4) Politique de l’habitat et du Cadre de vie :

    Elaboration d’un Programme Local de l’Habitat, mise en œuvre d’Opérations Programmées d’Amélioration de l’Habitat.

    5) Construction, entretien et fonctionnement d’équipements sportifs intercommunaux :
    Construction et gestion d’équipements sportifs intéressant l’ensemble de la communauté (ex : la piscine ).

    6) Animation :
    Réalisation et gestion d’équipements sociaux et administratifs, réalisation d’opérations favorisant le maintien à domicile des personnes âgées, acquisition et gestion de matériel pour manifestations locales , mise en œuvres de manifestations d’envergure intercommunale et soutien aux associations locales, mise en place d’actions favorisant
    l’insertion sociale et la qualification professionnelle des habitants.

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    LEON ET LE POTIRON QUI NE TOURNAIT PAS ROND<o:p></o:p>

    Il est grand temps que je vous présente Léon car même si vous êtes contre les grandes messes potironnesques, je pense que cette histoire d'amitié sur fond de potager va vous faire aimer Halloween. Léon ce serait plutôt du genre casanier dépressif qui se ronge de l'intérieur jusqu'au jour où sa propre petite lueur va créer son bonheur. Un petit conte à méditer ! <o:p></o:p>

    Et voici l'histoire d'une grosse citrouille métamorphosée en une citrouille d’Halloween grâce à un petit ver luisant.<o:p></o:p>

    C ‘était dans un énorme potiron que vivait Léon. Un potiron tout rond dans lequel s’ennuyait Léon. Il vivait caché, se nourrissait de chair orangée, enfermé dans le noir pour cacher son désespoir. Tout l’ennuyait et comme il mangeait, mangeait tout le temps, il grossissait, grossissait énormément. Quant au potiron, il se vidait en riant tout en se demandant qu’est ce qui les chatouillait autant. Dans le potager, les autres cucurbitacées le trouvaient un peu dérangé. Elles disaient qu’ils ne tournaient pas rond, qu’il avait perdu la raison. Notre potiron fut très vexé, Léon décida de se venger. Il devient sculpteur et travailla avec beaucoup d’ardeur. Et au fur et à mesure qu’il se trouait, le potiron se demandait pourquoi tout le monde le regardait. (visuel : la citrouille est en train de se transformer en une tête, avec des yeux et une bouche...) Quand son travail fut achevé, Léon téléphona à ses cousins qui habitaient loin, même très loin. Il les invita à venir le voir car il ne broyait plus du noir. Quand minuitsonna ils firent une rumba drôlement marrante et terriblement effrayante. Dans le potager tous les légumes tremblaient de peur, devant ce potiron rieur(visuel : tous les vers luisants rassemblés éclairent la citrouille de l’intérieur). Et depuis, plus personne ne se moque de lui. Léon ne connaît plus l’ennui. Léon a trouvé un ami.<o:p></o:p>

     Le bouc viril et souffreteux qui surveille le troupeau chargé de mission par le SMPLBDL (syndicat mondial pour le bonheur des légumes) 


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