• Croire en soi envers et contre tout. Toujours !

    Si la confiance en soi était un pont jeté au-dessus du fleuve tumultueux du doute et de l’indécision, elle aurait deux piliers : autrui ou les autres, c’est du pareil au même, et l’optimisme. Deux piliers-maîtres sans lesquels on traverse la vie du côté perdant, jamais du côté gagnant. Même si l’on a appris que ça de l’existence, on sait le plus important !
    Pourquoi autrui ? Parce que c’est toujours grâce aux autres qu’on a confiance en soi… ou qu’on en manque cruellement. Toujours ! Parce qu’on a reçu une éducation qui a donné une inébranlable foi en soi ou affligé d’une calamiteuse image qui gâche l’existence. Parce qu’on a un proche entourage familial, sentimental, conjugal, amical, professionnel, social, qui a envers soi des attitudes valorisantes.
    Ou, au contraire, qui vous traite en moins que rien et qui réduit à n’être que l’ombre pâlichonne de soi-même. Sans le regard d’autrui, la plus belle fille du monde n’aurait jamais conscience de sa beauté, et la plus moche de sa laideur ! Ce sont les autres qui nous font ou nous défont.
    Une fois amorcée, la confiance en soi tourne en boucle. Les réussites qu’on accumule la réalimentent et en appellent d’autres, et ainsi de suite. C’est un cercle vertueux. On vole de victoire en victoire plus parce que l’on croit en soi que parce que l’on est doué et brillant. C’est comme ça, mieux vaut le savoir. Et c’est pourquoi l’on dit à juste raison que la réussite va à la réussite et l’argent à l’argent. Les deux donnent un rabe de foi en soi qui fait la différence et surtout les succès.
    Après le pilier de la confiance en soi, celui de l’optimisme, tout aussi capital. Mais pas n’importe quel optimisme. Pas celui qui rêve de faire fortune en dormant et que les hamburgers tombent tout cuits du ciel. Non, je parle d’un optimisme pratique et pragmatique qui a les pieds sur terre, celui de l’action. Autrement dit, l’optimisme sans faille qui, en tous domaines, fait de la foi en soi et en l’avenir la clé de toute vie réussie.
    Mais si la confiance en soi est un cercle vertueux, le manque de confiance est un cercle vicieux qui multiplie les déboires et les échecs. Alors, à force de déboires et d’échecs, on finit un jour par tomber dans le trou béant d’une profonde démotivation. Et là, ça fait mal, croyez-moi !


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  • Dépeche du 13 Janvier

    Luz-Saint-Sauveur. Connexion avec Cauterets pour 2014 ?

    Bernard Dhoudain, président du Sivom de l'Ardiden, a présenté l'avancée de l'étude préalable à la présentation aux dossiers UTN de la remontée lourde et connexion avec Cauterets qui pourrait se faire en 2014.

    Côté Cauterets, celle-ci partirait non face à celle existante mais plus en direction de Cancéru. Elle rejoindrait le Lisey où un jardin d'enfants, qui manque à Cauterets, serait créé. De là, un télésiège rejoindrait probablement la station de Luz et des pistes de descente seraient aménagées depuis le col de Riou. Luz-Ardiden verrait ainsi son domaine s'étendre (+60 hectares), d'où le « gagnant-gagnant ». Côté Luz, on s'appuie sur une réalisation vue à Samoëns, dans les Alpes.

    La remontée part de Larise, une centaine de mètres avant la banderole qui ne se trouve pas dans la ZAC définie par Saligos. Scénario le plus probable, un giratoire et des parkings (700 places plus les navettes) de part et d'autre (la route actuelle qui pourrait être déplacée est considérée comme la limite de crue du Gave et les terrains en dessous non constructibles). Le départ Larise est le seul retenu pour 3 raisons : c'est le plus court, donc le moins cher et malgré la crise, les prix n'ont pas baissé dans ce secteur. En partant de Luz, il faudrait survoler des habitations, notamment Sassis, ce qui est inconcevable aujourd'hui (Cauterets l'a pu car on reprenait un existant). Enfin, la remontée passerait par un point haut avant une très forte descente pour arriver à Aulian, ce qui est hors norme, et un peu plus loin, au col, elle serait trop éloignée, obligeant à restructurer tout le domaine. L'étude prend en compte dans le prix (2 173 500€) les hivers sans neige (on table sur une mauvaise année sur 5), la restitution de terre agricole… Pour le conseil et la station, « elle s'avère indispensable car on s'aperçoit que les jours où la route est difficile, il y a peu de monde à Luz alors que Cauterets fait le plein avec un nombre de lits peu supérieurs.


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